
À Buckingham, le jour où Meghan Markle a défié un protocole royal surprenant : « On l'a trouvée irrespectueuse »
2025-03-23
Auteur: Julie
Lorsque Meghan Markle a intégré la famille royale britannique en 2018, elle a dû rapidement s'adapter à un monde rempli de règles et de traditions parfois étranges. Parmi ces règles, l'une des plus surprenantes concerne la manière dont les femmes de la monarchie doivent s'asseoir. En effet, le Daily Mail rapporte qu'il est formellement interdit aux femmes royales de croiser les jambes au niveau des genoux. Le protocole exige que les jambes soient gardées droites et serrées ou croisées uniquement au niveau des chevilles.
Lors de l'un de ses premiers engagements officiels avec la reine Elizabeth II, à la cérémonie des Young Leaders Awards en juin 2018, Meghan, alors duchesse de Sussex depuis un mois à peine, a été filmée en train de croiser instinctivement les jambes. Bien qu'elle se soit rapidement corrigée en adoptant la posture exigée, surnommée la "duchess slant" (inclinaison de la duchesse), elle a tout de même été critiquée par la presse britannique.
Ce faux pas a suscité des commentaires sur son manque de respect envers la reine et son incapacité à s'adapter aux traditions. Cependant, certains rappellent que la princesse Diana et même la reine elle-même, jeune, ont été aperçues en train de croiser les jambes de la même manière. Malgré ces analogies, la pression était palpable.
Étonnamment, ce jour-là, l'ambiance semblait détendue. Meghan et Elizabeth échangeaient des sourires et des rires complices, et il est même noté qu'Elizabeth II avait offert à la duchesse une paire de boucles d'oreilles en perles, qu'elle portera quatre ans plus tard lors des funérailles de la souveraine.
En devenant duchesse à l'âge de 36 ans, Meghan n'avait pas été éduquée selon les normes strictes de la cour. Ce décalage culturel a profondément marqué son intégration dans la famille royale et a alimenté, selon certains, une hostilité envers elle au sein de l'opinion publique britannique. À Buckingham, chaque geste est scruté, et contester les traditions peut avoir des conséquences lourdes, non seulement pour la personne concernée mais aussi pour l'ensemble de la monarchie.