Une Vague d'Attaques qui Frappe Lyon

La tension monte à Lyon, où la thèse d'une implication opportuniste de l'ultragauche dans une série d'attaques contre des établissements pénitentiaires prend de l'ampleur. Le 22 avril, une tentative d'incendie a visé le siège de Citinea, une filiale du géant Vinci, dans le quartier de Grandclément à Villeurbanne.

Un Message Clair ?

Les flammes, rapidement maîtrisées, ont laissé place à une mystérieuse inscription : « DDPF », acronyme de « Défense des prisonniers français ». Ce message a été repéré sur plusieurs sites où des dégradations et attaques contre des centres pénitentiaires ont été signalées.

Un Contexte Explosif

Citinea, spécialisée dans les travaux de maçonnerie, est actuellement en lice pour construire un nouveau centre de rétention administratif à Longvic, près de Dijon. Ce projet doit ouvrir ses portes fin 2026, dans un climat où les mesures d’éloignement des immigrants en situation irrégulière sont renforcées par le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau.

Une Réaction Ferroce

Cette série d'attaques intervient dans un contexte de contestation croissante et soulève des interrogations sur les méthodes radicales adoptées par certains groupes. Les autorités surveillent de près ces événements, redoutant un enchevêtrement de violences et d’idéologies radicales.

À Suivre de Près

La situation reste tendue et rappelle à tous que la lutte contre le système pénitentiaire et les politiques migratoires est loin d'être terminée. À Lyon, les citoyens se demandent si d'autres actions suivront, alors que la tension ne cesse de grimper.