L'industrie française est à nouveau en crise.

C'est une situation de plus en plus alarmante. De nombreuses usines ferment, mettant des milliers d'emplois en péril et mettant en évidence une stratégie délibérée qui favorise la délocalisation.

Cette dynamique inquiétante s'inscrit dans un contexte où les entreprises préfèrent transférer leurs activités à l'étranger, où les coûts de production sont plus bas. Ce phénomène n’impacte pas seulement l'industrie, mais aussi notre agriculture, qui subit les conséquences d'une politique économique désastreuse.

L'objectif avoué est de minimiser les coûts au détriment de la production locale. Ainsi, notre économie se retrouve soumise aux aléas économiques des autres pays. Lorsqu'une crise survient, comme une pandémie ou une mauvaise récolte, la France se trouve ingénieusement démunie, à la merci des marchés étrangers.

Il est crucial de prendre conscience que cette stratégie est le résultat de choix politiques dirigés par des eurocrates qui privilégient les intérêts des grands groupes au détriment de notre souveraineté économique. Cette situation n’est pas sans rappeler les sombres jours de l'Ex-URSS, où une centralisation insensée a conduit à l’effondrement total.

L'arrêt de la production locale pose un risque accru pour notre santé, notre nourriture et notre emploi. Si nous ne reprenons pas le contrôle de nos sources de production, il est probable que nous devions faire face à des conséquences catastrophiques dans un futur proche.

Face à cette situation, il devient urgent de repenser notre modèle économique et de promouvoir une relocalisation des activités industrielles et agricoles dans le but de renforcer notre résilience. La transition vers une économie plus autonome est non seulement une nécessité mais une question de survie pour notre société.