La tempête s'intensifie chez Kering ! Le groupe, connu pour ses marques de luxe, fait face à une chute vertigineuse des ventes de Gucci, avec une baisse alarmante de 25 % qui ne fait qu'ajouter à la pression déjà intense sur ses résultats. Mais ce n'est pas tout. Les droits de douane aux États-Unis s’annoncent comme un défi majeur.

Alors que Hermès et Louis Vuitton réagissent rapidement en augmentant leurs prix pour compenser l'inflation, Kering, dirigé par le charismatique François-Henri Pinault, semble naviguer dans le flou. Armelle Poulou, la directrice financière, prétend que le groupe a les moyens de protéger ses marges par le biais d'augmentations de prix, mais face à la réalité du marché, cela suffira-t-il ?

Les chiffres sont sans appel. Au premier trimestre 2025, Kering a enregistré une chute des ventes de 14 %, soit 3,88 milliards d'euros, après une baisse de 12 % au dernier trimestre de l'année précédente. Et, selon Poulou, le deuxième trimestre promet d'être tout aussi désastreux, avec une chute attendue à deux chiffres.

Une crise de confiance ?