Condamnation et Menaces : Un Scandale Retentissant!

Un homme de 76 ans a été condamné le 9 avril à Bobigny pour outrages, menaces et insultes à l'encontre de la juge qui a prononcé la peine de Marine Le Pen, suite à l'affaire des assistants des eurodéputés du FN. Cette magistrate, cible de nombreuses menaces sur les réseaux sociaux, a même nécessité une protection policière.

Des Propos Choc sur les Réseaux Sociaux!

Gérard, le septuagénaire au look reconnaissable avec ses petites lunettes et sa chemise à carreaux, s'est justifié pour un tweet particulièrement discutable. Il y avait posté une photo de guillotine avec la légende : "C'est tout ce qu'elle mérite cette salope." En réponse à la cour, il a tenté de minimiser ses paroles en arguant qu’il ne voulait pas réellement nuire : "Je n'ai pas d'arme et je n'ai jamais eu l'intention de tuer qui que ce soit."

Symboles Controversés et Défense Vaine!

Il a aussi précisé que la photo de guillotine n'était qu'un symbole de justice parmi d'autres et que ses mots, bien que virulents, étaient l'expression de ses opinions. "Je voulais juste dire ce que je pense", a-t-il déclaré.

La Loi Rentre en Jeu!

Le procureur n’a pas tardé à dénoncer cette attitude, rappelant que de tels propos sont punis par la loi depuis 145 ans. "Ne pas se moquer de nous !" a-t-il lancé, insistant sur la gravité des menaces.

Une Sanction Équitable?

Malgré la défense de son avocate, qui a souligné que Gérard n'avait que peu d'abonnés sur X et qu’il n’avait jamais cru que sa juge pourrait lire ses messages, le tribunal a statué sévèrement. L'homme, ancien directeur informatique avec une pension de 5 000 euros, devra s'acquitter d'une amende de 3 000 euros en plus d'une peine de huit mois de prison avec sursis.

Perspective d'Appel!

Gérard dispose de dix jours pour faire appel, laissant place à des rebondissements dans cette affaire déjà très médiatisée.