Une nuit cauchemardesque au cœur de Manhattan

Dans la nuit du mardi 8 au mercredi 9 avril, un acte odieux a eu lieu à bord du métro new-yorkais. Les caméras de surveillance ont capté un homme en train d'agresser sexuellement le corps sans vie d'un autre homme dans un train de la ligne R.

Une enquête en cours pour une affaire choquante

Les autorités de la police de New York ont lancé une chasse à l'homme pour retrouver le suspect. Ce dernier, identifié comme Carlos Garcia, 51 ans, aurait aussi volé des effets personnels à la victime avant de s'enfuir à la station Whitehall Street.

Des révélations inquiétantes sur le suspect

Selon des proches, Carlos Garcia aurait des antécédents de dépendance à l'héroïne. Son frère, sous le choc, a déclaré : "Il n'a jamais rien fait de tel dans sa vie. Je ne crois pas qu'il soit capable d'une telle horreur." Mais la vérité semble bien plus complexe.

La victime et les circonstances de sa mort

L'identité de la victime n'a pas été communiquée, mais selon la police, il est mort de causes naturelles. Dans un développement troublant, il a été révélé qu'une femme aurait également été vue sur les caméras de surveillance offrant une cigarette à la victime juste avant son décès.

Une aube de désespoir pour la famille

Sa famille est en état de choc. Ils n'arrivent pas à croire ce qui s'est passé, tandis que les enquêteurs tentent de démêler les événements tragiques de cette nuit-là. L'urgence de retrouver le suspect et la mystérieuse femme vue dans le métro s'intensifie.

Un second vol choquant

Peu après l'agression, la même femme a été soupçonnée d'avoir fouillé les poches de la victime alors qu'il était inconscient, dérobant des biens avant de disparaître. Une description de cette femme, portant un sweat-shirt à capuche jaune et une casquette noire, a été diffusée dans le cadre de l'enquête.

Une situation inquiétante dans le métro de New York

Ce tragique incident soulève des questions sur la sécurité dans les transports en commun de la ville. Les New-Yorkais sont consternés et espèrent que justice sera rapidement rendue. La police n'a pas déterminé si la victime était morte au moment de la première agression, mais une chose est sûre : la soirée du 8 avril restera gravée dans les mémoires comme l'une des plus sombres de l'histoire du métro.