Trump : La Russie fait une "grande concession" en Ukraine !
2025-04-25
Auteur: Michel
Une confession surprenante de Donald Trump
Le président américain, Donald Trump, a récemment affirmé que la Russie avait fait une "concession significative" en ne s'emparant pas de l'intégralité de l'Ukraine, un commentaire qui a suscité l'étonnement à travers le monde.
Pression exercée sur Poutine
Lors d'une rencontre avec le Premier ministre norvégien Jonas Gahr Støre dans le Bureau ovale, Trump a insisté sur le fait qu'il exerçait "une forte pression sur la Russie", expliquant que cela poussait Vladimir Poutine à engager des discussions.
"Je pense qu'il désire un accord, mais il faut deux partenaires pour aboutir", a-t-il déclaré, soulignant l'importance de négociations fructueuses.
Une réponse à la violence russe
Sa déclaration intervient après une attaque meurtrière sur Kyiv, au cours de laquelle la Russie a frappé la capitale ukrainienne avec des missiles et des drones, tuant au moins 12 personnes.
Trump a publiquement exprimé son mécontentement sur sa plateforme Truth Social, martelant : "Vladimir, STOP ! 5000 soldats meurent chaque semaine. Il est temps de conclure un accord de paix !"
Des mots forts pour une situation critique
Lorsque les journalistes l'ont interrogé sur ses commentaires concernant Poutine, Trump a admis : "Je n'ai pas apprécié la nuit dernière. Je n'étais pas satisfait. Nous parlons de paix et des missiles sont lancés."
Un espoir pour un avenir pacifique ?
Avant de déjeuner avec le Premier ministre norvégien, Trump a exprimé son espoir que la Russie et l'Ukraine souhaitent toutes2 la paix. "Il y a beaucoup de tensions, mais je suis optimiste pour les jeunes qui souffrent à cause de ce conflit", a-t-il ajouté.
De nouvelles tensions avec Zelensky
Cependant, il a critiqué le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, après que ce dernier a refusé une proposition impliquant des concessions territoriales à la Russie.
Un appel à la négociation de la part de l’OTAN
Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, a affirmé que les efforts de négociation devaient venir de la Russie, laissant ainsi une porte ouverte à un dialogue.
Vers un accord ?
Enfin, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a confirmé que la Russie était prête à conclure un accord, bien que quelques détails spécifiques restent à peaufiner.
L'espoir d'une résolution diplomatique dans ce conflit reste vif, alors que les regards du monde entier se tournent vers les leaders pour une issue pacifique.