Nation

Deux hommes arrêtés pour avoir préparé un attentat : révélations choquantes!

2025-04-06

Auteur: Philippe

Deux individus ont été arrêtés et mis en examen à Paris, dimanche 6 avril, par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour association de malfaiteurs terroriste et possession d'explosifs. Ces deux hommes ont immédiatement été placés en détention provisoire, comme l'a confirmé le PNAT, selon des sources proches de l’enquête.

Un troisième homme, quant à lui, a été mis en examen pour non-dénonciation d’un crime terroriste et soumis à un contrôle judiciaire. Les trois suspects sont majeurs, mais le PNAT n'a pas divulgué leur âge exact ou les avancées de leur éventuel projet terroriste.

Le principal suspect, âgé de 19 ans et résidant à Dunkerque, a été identifié comme un fervent sympathisant de la mouvance djihadiste, affichant ses convictions sur Internet. Lors de perquisitions au domicile du jeune homme, les enquêteurs auraient découvert un gilet explosif artisanal, ainsi que des pétards connectés entre eux, en plus d'un dispositif pour les allumer.

D'après des informations révélées par Le Parisien, ce jeune homme avait même écrit un serment d'allégeance au groupe État islamique (EI) et prévoyait d'attaquer un lieu public. Cette interpellation a également conduit à l'arrestation de deux membres de son entourage suspectés d'avoir collaboré avec lui.

Une arme factice au cœur de l'enquête

Parmi les suspects, l’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné d’avoir fourni une arme factice que le principal accusé exhibait sur les réseaux sociaux. Son avocat, Réda Ghilaci, a réagi ferme en affirmant que son client n'est pas radicalisé et ne partage aucune thèse djihadiste. Il a dénoncé l’accusation d'association de malfaiteurs terroriste comme étant juridiquement infondée.

Ce n’est pas un incident isolé. Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône, a également été mis en examen pour avoir projeté une action violente durant le ramadan. Son avocat a déclaré que le jeune, en détresse, avait conçu un plan pour mettre fin à ses jours, et non pour commettre un acte terroriste.

De plus, le 26 février, un homme algérien, décrit comme souffrant de troubles psychiatriques, a été mis en examen pour un assassinat terroriste à Mulhouse, où il a tué un passant et blessé six autres personnes. Ces événements soulignent une inquiétante montée de la radicalisation chez les jeunes, un phénomène qui nécessite une attention urgente des autorités et des responsables politiques.

Restez vigilants, car ces histoires ne font que commencer à se dévoiler!