La guerre commerciale engagée par Donald Trump à son arrivée au pouvoir a laissé la communauté économique européenne dans un état de choc. Les entreprises européennes, initialement pleines d'espoir, ont rapidement ressenti le poids de ses annonces et menaces. Les ratios d'optimisme ont chuté, faisant place à une réalité plus sombre et complexe.

Les petites installations solaires, qui avaient été célébrées pour leur potentiel, se sont retrouvées dans le collimateur du gouvernement américain. Considérées comme trop nombreuses et coûteuses, elles subissent une pression croissante avec l'annonce d'un nouvel arrêté visant à modifier les aides à ce secteur. Ces mesures inquiètent les acteurs du marché, qui craignent que cela ne fige l'innovation et la transition énergétique.

Parallèlement, des informations exclusives révèlent que l'administration Trump a envoyé une lettre aux entreprises françaises, leur demandant de renoncer à leur politique anti-discrimination sous peine de perdre leurs contrats gouvernementaux. Cette démarche a suscité des réactions indignées en France, où le ministre des Finances a déclaré que «ces valeurs ne sont pas les nôtres». Ce climat de tensions et de désillusion rappelle que la relation franco-américaine, toujours fragile, est à un tournant décisif. Quelles répercussions cela aura-t-il sur les échanges commerciaux mondiaux? Les entreprises françaises peuvent-elles s'adapter sans renoncer à leurs principes fondamentaux? L'avenir semble incertain.