Le constat est affligeant : Michel Blanc est décédé des suites d’un œdème de Quincke, provoqué par une violente réaction allergique. Selon le rapport médical, aucune enquête supplémentaire n’a été ordonnée par le parquet, et les tenants de l’incident demeurent un mystère complet.

Dans un article du mercredi 8 octobre, l’hebdomadaire « Marianne » a révélé ces détails, citant une source hospitalière qui a exprimé : « On ne le saura jamais ». L'interlocuteur a également signalé qu’autrefois, des autopsies étaient couramment réalisées pour établir les causes précises des décès, un processus qui semble désormais délaissé.

Un destin tragique pour un homme qui a marqué le cinéma français, laissant derrière lui une multitude d’interrogations sans réponses.

Cependant, la compagne de Michel Blanc, Ramatoulaye Diop, souhaite honorer sa mémoire d'une manière singulière et réconfortante. D'après le journaliste Laurent Valdiguié de « Marianne », elle a pris l’initiative d’avertir ses proches sur les dispositions des obsèques. Pas de chagrin, aucune atmosphère lugubre, mais plutôt une célébration de la vie de Michel Blanc. Elle a appelé la « grande famille du cinéma français » à lui rendre hommage au cours d’une cérémonie « joyeuse », en écho à l'esprit et à la personnalité pétillante de Michel.

Cette demande poignante résonne avec la manière dont Michel a su apporter joie et humour à travers ses rôles emblématiques. Ramatoulaye Diop a rappelé à tous l'importance de célébrer la vie de ceux qui nous quittent, et de se souvenir des rires et des souvenirs partagés. Les obsèques promettent ainsi d'être à la fois un hommage vibratoire et une célébration de son héritage dans le cinéma français.