Vianney d’Alançon : le businessman qui bouleverse l’ESJ Paris avec les milliardaires !
2024-11-25
Auteur: Philippe
Derrière un nom qui évoque des racines bourgeoises, Vianney d’Alançon se trace un chemin fascinant dans le monde de l’entrepreneuriat. À 38 ans, il a une histoire peu commune, ayant grandi au cœur des paysages bucoliques de l’Auvergne et de la Provence, où il élevait des moutons pendant ses vacances. "J’adorais ça quand j’étais jeune. J’ai passé plus de temps dans les é tables que dans les écoles", confie-t-il, tout en ne disant revendiquer pour seul diplôme que son permis de chasse.
Ce parcours atypique est à la fois intrigant et séduisant. Vianney n'est pas qu'un simple entrepreneur. Son empire s’étend de la création de bijoux religieux à l’acquisition de châteaux majestueux, tout en étant entouré d’un réseau imposant de contacts dans les sphères politique, culturelle et économique. Son amitié avec des figures telles que l’évêque ultra-réactionnaire Dominique Rey et son implication dans le Dîner des bâtisseurs révèlent un certain penchant pour le milieu catholique.
Mais ce qui le rend d'autant plus intéressant, c'est sa récente nomination surprise à la présidence de l’ESJ Paris, la plus ancienne école de journalisme de France. Une école, soulignons-le, qui n'est toujours pas reconnue officiellement par la profession. Son ascension à ce poste a suscité un mélange d’admiration et de scepticisme, ce qui a incité de nombreux journalistes à s’interroger sur ses ambitions. Vianney se démarque en affirmant qu'il n'a répondu à aucun média, à l’exception de Libération, ce qui soulève des questions sur sa stratégie de communication.
Alors que des milliards affluent vers l'ESJ Paris grâce à ses nouvelles connexions, reste à voir comment Vianney d’Alançon utilisera son pouvoir pour transformer l'école. Les observateurs s'interrogent : sera-t-il capable de laver le linge sale de l'école tout en lui insufflant un vent nouveau, ou son mandat sera-t-il marqué par des bouleversements inédits ? Une chose est sûre, cette nomination pourrait bien redéfinir le paysage du journalisme en France.